Le Black-bass a une très grande bouche, l'intersection des mâchoires se trouvant très nettement en arrière de l'œil, cette bouche est si grande et si large par rapport à sa taille, qu'un bass d'une livre avale facilement une belle grenouille ou une perche arc-en-ciel large de trois doigts.
La bouche comporte, comme celle de la perche française, à laquelle le bass s'apparente, une partie membraneuse très fragile qui est précisément l'endroit où l'hameçon se pique le plus souvent. Elle se déchire d'autant plus facilement qu'un des principaux réflexes de défense du bass est de sauter hors de l'eau, gueule béante et furieusement secouée.
Il est donc possible d'utiliser des leurres assez volumineux et nécessaire d'employer des hameçons forts, de fer, de section ronde (les plus grands possibles par rapport à la taille du leurre ou de l'appât naturel offert). Malgré cette précaution, il faut tenir compte, au cours de la lutte, de ce que le moindre mou dans la ligne peut provoquer un décrochage.
La bouche comporte, comme celle de la perche française, à laquelle le bass s'apparente, une partie membraneuse très fragile qui est précisément l'endroit où l'hameçon se pique le plus souvent. Elle se déchire d'autant plus facilement qu'un des principaux réflexes de défense du bass est de sauter hors de l'eau, gueule béante et furieusement secouée.
Il est donc possible d'utiliser des leurres assez volumineux et nécessaire d'employer des hameçons forts, de fer, de section ronde (les plus grands possibles par rapport à la taille du leurre ou de l'appât naturel offert). Malgré cette précaution, il faut tenir compte, au cours de la lutte, de ce que le moindre mou dans la ligne peut provoquer un décrochage.